Quand j’ai démarré ma carrière, l’environnement était un sujet réservé à quelques experts, souvent évoqué avec scepticisme, parfois même tourné en dérision. En 2025, tout n’est pas parfait, mais il faut reconnaître le chemin parcouru en 25 ans.

En tant que communicant, j’ai accompagné de nombreux projets liés à l’environnement :

·       L’obligation annuelle de communiquer sur la politique environnementale de l’entreprise

·       Les rapports environnement / développement durable

·       Les actions concrètes mises en place pour la gestion des déchets en milieu industriel

·       Les plans de communication spécifiques, préparés pour les audits, preuves à l’appui

·       L’implication des salariés dans la stratégie RSE et la structuration de leurs retours

·       …

Comme pour la Qualité, on est passé d’une logique de conformité documentaire à une intégration réelle dans les systèmes de management. L’évolution est bien là.

Les évolutions législatives (avec la CSRD en ligne de mire) et normatives ont aussi transformé la communication, en externe comme en interne :

·       en limitant le greenwashing (et en poussant certains vers le greenhushing)

·       en encourageant de nouveaux outils pour mieux capter les retours des collaborateurs — outils souvent étendus à d’autres usages, et qui ont renforcé les réseaux sociaux internes.

👉 Ma propre pratique s’est enrichie avec ces évolutions.

Aujourd’hui, la transparence est une force. Les chiffres le prouvent : les entreprises qui communiquent sincèrement sur leurs engagements en retirent de vrais bénéfices.

Et les PME ? Elles sont souvent déjà actrices du changement, mais n’ont pas toujours le temps de le faire savoir.

💡 Un accompagnement à temps partagé peut être une solution efficace pour rendre visibles ces engagements essentiels — en 2025, et bien au-delà.

Parlons-en !

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